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31.8.16


   
                                    MATERIALISME & INTÉGRITÉ

AUJOURD’HUI IL SE DÉVOILE ET ON PEUT VOIR DE MANIÈRE CHAQUE FOIS PLUS TRANSPARENTE, COMME LE MATÉRIALISME TRANSFORME L’ÊTRE HUMAINE EN ZOMBIES, DES ÊTRES ABSOLUMENT MANIPULÉS ET CONDUITS PAR LE « CHEF ». 
ET LE « CHEF" C’EST L’INSTRUMENT MAYEUR DE MANIPULATION QUI SUIS UN « MODEL »,  QUELQUE CHOSE QUE DE MANIÈRE ILLUSOIRE LUI REND PLUS « PUISSANT » ...(...)

LE MATERIALISME AINSI  DISOCIE LA MATIÈRE DE L’ESPRIT, IL NE COMPREND RIEN DE L' L’ESPRIT ET LES VALEURS DONT IL IMPREGNE LA VIE. IL AIE L’ESPRIT PARCE QU’IL DONNE UNE LIBERTÉ QUI LUI FAIT PERDRE DOMAINE SUR LA VOLONTÉ DES ÊTRES ET L’INTÉGRITÉ INDIVIDUEL QU’IL VEUT FAIRE DISPARAÎTRE.

AUJOURD’HUI CET SÉPARATION,  FAIT VOIR PLUS NETTEMENT LA DUALITÉ HUMAINE DANS NOTRE CULTURE ET LE GROS VIDE EXISTENTIEL MALGRÉ TOUS LES BIENS MATÉRIAUX QU’ON PUISSE AVOIR.

SANS UNITÉ MATIÈRE-ESPRIT, L’AMOUR IL NE PEUT PAS EXISTER, LA SOLIDARITÉ IL SE CONSIDÈRE INUTIL,  ET LA CULTURE, DEVIENNE AFFAIRE D’ARGENT...


elgodiv

22.8.16


UN MESSAGE D’AMOUR:



Le secret qu’on ne voit que du ciel


Il y a quelques années, je suis tombé par hasard sur cette histoire, publiée dans une revue disparue. 
Si vous êtes triste, si vous avez le cœur lourd, si vous vous sentez déprimé ou simplement fatigué, lisez-là. 
Elle est la preuve de la puissance d’amour sans limite qu’il y a en chacun de nous, même dans les moments les plus noirs de nos vies. 

Qui est l’auteur de ce message ?

Tout commence avec un photographe amateur qui embarque un matin sur une montgolfière pour survoler le Gloucestershire, en Angleterre. 
Le ciel est beau ce jour-là, le brûleur de la montgolfière crache un souffle fort. La nacelle s’envole sans difficulté. 
Des champs, des fermes, des vallons, des routes qui se promènent comme de jolis lacets entre les collines : voilà ce que le pilote prend en photo depuis la nacelle qui balance gentiment dans les airs. 
Mais soudain, une rafale un peu plus forte dévie le ballon de sa trajectoire. Et c’est ce changement de direction qui va lui faire voir ce que personne n’avait jamais vu jusqu’alors. 
Une des œuvres les plus bouleversantes réalisées par la main d’un homme. 
Depuis son ballon, le photographe devine une forme étrange au sol. Il manœuvre pour descendre. Comme l’écrit le journaliste qui a relate l’histoire : 

« C’est un peu plus loin, au milieu des arbres. Comme un message dessiné sur une prairie, et caché aux regards par une forêt. Le ballon passe au dessus de la cime des arbres, survolant le mystère qu’ils protègent. Un mystère bien gardé : on ne peut le voir que du ciel. Et sans la complicité du vent, le pilote ne l’aurait jamais découvert ».

Le pilote finit par se poser dans un pré, à quelque distance. Il y a une petite ferme, en bordure de forêt. Peut-être quelqu’un sur place pourra-t-il lui dire qui est l’auteur de ce bien curieux message ?? 
Il saute à terre, et tout de suite un homme vient à sa rencontre. C’est le fermier, il s’appelle Winston Howes. Le photographe lui raconte alors ce qu’il a vu. L’autre hoche la tête, puis après avoir hésité un instant, il répond : « Je sais ce que vous avez vu, Monsieur. Je connais très bien toute l’histoire : c’est la mienne ». 

Une idée contre le chagrin

Le fermier explique alors qu’il avait rencontré sa femme Janet en 1960, alors qu’elle avait 17 ans. Elle sera l’amour de sa vie, jusqu’au jour terrible où elle meurt d’une crise cardiaque, trente-trois ans plus tard. Pour s’évader un peu du chagrin qui l’accable, il a alors une idée. 
Durant des jours et des jours, il parcourt le champ qui jouxte sa ferme, mètre et carnet dans la main. De retour chez lui, il reporte ses mesures sur du papier millimétré. Il dessine une croix à l’emplacement où chaque arbre sera planté. Puis il passe à la réalisation « en vrai ». 
Sur son terrain, il prépare 6000 petits trous, où il va planter 6000 chênes, en respectant les bons intervalles. C’est un travail immense, il y a deux hectares et demi à boiser. 

17 ans de patience !

« L’alignement doit être parfait, chaque arbre futur doit laisser à son voisin la place de s’épanouir. Au centre de cette forêt encore lilliputienne se cachera une clairière, représentant une forme que seul le fermier connaît ».

Le dernier chêne planté, il faut attendre que le temps fasse son œuvre. Que les arbres grandissent, déploient leurs branches, leurs feuilles. Dix ans, onze ans, douze ans, encore cinq années et, enfin, les chênes ont la taille des colonnes d’un temple.  

Un tout petit chemin conduit au centre de la clairière. 

« Les petits-enfants du fermier viennent y jouer mais il leur faudrait des ailes pour voir ce que dessine l’espace tracé par leur grand-père. Il faudrait qu’ils puissent monter tout là-haut dans le ciel, par delà la cime touffue des chênes. Alors seulement ils découvriraient le message que Winston Howes a gravé dix-sept ans plus tôt, au centre de sa forêt : un immense cœur. Dont la pointe est tournée vers le cimetière où Janet repose désormais ».
« Le fermier n’en avait jamais parlé à personne. Il a fallu qu’un photographe amateur le découvre du haut de sa montgolfière pour qu’il finisse par ouvrir son cœur. »
À 70 ans, Winston Howes a installé un banc à la lisière de sa forêt et vient s’y asseoir tous les jours comme s’il avait rendez-vous. 

Et il a bien rendez-vous, avec le souvenir de sa femme. Car ici, dit-il, ils sont ensemble. 

Si un jour vous passez en montgolfière au-dessus du village de Wickar, en Angleterre, voici ce que vous verrez depuis votre nacelle :  




Santé ! 


Gabriel Combris

                                      ***

     

12.8.16




                               
                                  L’ARBRE SURRÉEL 
                                                              (foto elgodiv)

Dans le bois des Rêves un arbre se leve embrassé par des rêves....  
    
elgodiv