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26.12.19


DENONCE


  JE DEMANDE AU SERVICE GOOGLE- BLOGGER ACTUALISER BLOGS ELGODIV PUBLIÉS ET NON ACCEPTER INGERENCE POUR SUSPENDRE PUBLICATIONS ACTUELS RÉALISÉS.

EN CE MOMENT IL SONT BLOQUÉ DERNIÈRE PUBLICATION DE BLOG ELGODIV -MEMORIAL -  DÉCEMBRE 2019 -

S’IL VOUS PLAÎT, VEUILLE VOUS RECTIFIER ALTÉRATION ET BLOCAGE DES PUBLICATIONS PROVOCANT L’EMPÊCHEMENT DE VOIR ET LIRE DERNIERS ARTICLES.

DU MÊME QUE D’AUTRES BLOGS ELGODIV

REMERCIANT VOTRE SERVICE ET REGULIÈRE ATTENTION 

JE VOUS SOUHAITE  BONNE ANNÉE 2020!


ELGODIV  

25.12.19

VATICANO

                             NOËL 2019

                 MESSAGE DU PAPE 
 AVEC BÉNÉDICTION URBI ET ORBI
                       ( TRAD. FRANÇAIS)
Video for BÉNÉDICTIONS DU PAPE NOËL 2019 YOUTUBE

23.12.19

(Français-espagnol)                                 
                             
                                NAVIDAD 


                                   NOËL 

Matias Carrasco
chronique EMOL

Il y a de nombreuses années, tellement que je ne me souviens même pas, Noël a été célébré d'une autre manière. Ce sont des images que l'on a dans la tête. C'est l'histoire qui a été racontée à travers les siècles. C'est l'exploit d'un homme, d'une femme et d'un nouveau-né. Ils étaient dans une étable. Il n'y avait pas d'autre endroit pour eux dans la ville. Lui et elle étaient épuisés. Je les imagine affamés et froids. Ils venaient d'un long voyage monté sur un animal, fuyant une terre qui les regardait avec suspicion. À elle comme une adultère. À lui, comme un cocu complice. Ils ont dû y passer quelques heures avant la naissance. Elle était allongée sur une balle de paille, avec son énorme ventre et sa respiration agitée. Il l'accueillit tendrement, la protégeant des araignées et apportant de l'eau dans un vaisseau cassé. Un bœuf regarda, voyant quelque chose de simple mais de gros. Il lui prit la main et elle lui lança un regard complice et fatigué. Ils avaient peur, mais aussi le calme d'une nuit tranquille. Il a accouché sans anesthésie. Il a poussé presque sans force. Ça fait mal. Ça faisait très mal. Il l'aida comme il le pouvait, maladroitement. Il y avait du sang et une odeur intense. Il a trouvé la tête de l'enfant et l'a placée dans ses mains. Il manque peu, a-t-il dit à sa femme. Il y eut un cri aigu et interrompu. C'est un garçon! Cria-t-il. Il l'enveloppa dans un vieux tissu et le laissa dans les bras de Maria. Son nom était Maria. Elle a pleuré. Il a trouvé ses yeux et lui a dit qu'il l'aimait. Elle accomode le petit dans sa poitrine. Auch!, se plaignit-il. Ils ont ri Ils restèrent silencieux pendant longtemps. 
  Le bœuf les regardait et ils regardaient le petit garçon qui ronronnait comme s'il était un chat. Son nom sera Jésus, a-t-elle dit en le caressant. Même les visiteurs qui sont venus après une star n'ont pas réussi à rompre l'intimité du moment. Ils disent qu'ils étaient prêtres, astrologues et sages. 
  Quand ils sont entrés dans l'étable, Joseph a eu honte. Je n'ai pas à leur offrir, leur a-t-il dit. Peut-être un peu d'eau, a-t-il ajouté. Ils bougèrent leurs mains en signe d'insouciance.   Nous venons vous accompagner un petit moment, ont-ils répondu. Ils ont commenté le nouveau-né. De ses mèches raides et de sa petite bouche. Ils rirent doucement. 

 Après quelques minutes, ils se sont levés et ont annoncé leur retrait. Cette famille doit se reposer, ont-ils commenté. Ils ont laissé de l'or, de la myrrhe et de l'encens. Ils ce sont embrassé et donné bon voeux. Ils sont revenus de la même manière que la star les avait guidé. Dans l'étable, lui, elle et l'enfant sont restés. Maria s'est endormie et José (c'était son nom) est resté vigilant face aux appréhensions d'un père pour la première fois. C'est ainsi que cela a été célébré - du moins comme j'imagine - le premier Noël.

Mais les choses ont changé. Le temps recouvre la mémoire et la vie moderne fait aussi son affaire. La vérité est que Noël est célébré loin, très loin de l'intimité de cette époque. Il ne reste qu'une mangeoire armée au pied de l'arbre de Pâques. C'est juste un clin d'œil, un symbole fragile sur la longue liste des obligations de Noël. Cette nuit de paix nous a transformés en jours et nuits occupés, pleins d'activités, rapides, en fuite, de magasin en magasin, transportant des sacs d'un côté à l'autre, emballant, étiquetant, avec des cheveux en désordre et yeux tombants Personne ne veut passer la honte de Joseph pour avoir juste un verre d'eau.

C'est vrai. C'est une tradition. À propos des cadeaux, je dis. C'est aussi l'occasion de donner de l'amour et de continuer à incuber chez nos enfants une histoire magique. Celui d'un vieil homme qui parcourt le monde, dans un traîneau tiré par des rennes, dans le toit des cheminées, livrant des colis partout. Mais ce n'est pas lui qui est d’anniversaire. Ce n'est pas lui dont on se souvient à Noël. En est un autre. C'est ce petit garçon qui est né sous les yeux d'un bœuf, avec des mèches raides et une petite bouche, celui des pleurs interrompus, celui de la morsure énergique, le type juste et révolutionnaire. Il est l'homme d'une autre logique, celle des béatitudes, le paladin des pauvres, des humiliés et des persécutés. C'est lui qui dénonce l'injustice. C'est lui qui partage le pain. C'est le voisin qui aime, accueille et pardonne. C'est lui qui a risqué sa vie. C'est lui qui a tellement enflé qu'il a été tué. C'est celui que nous continuons à tuer. C'est celui qui est perdu pour l'Église et une bonne partie des croyants. C'est lui qui m'a aussi perdu.

Je pense à tout cela au Chili aujourd'hui. Un pays qui nous oblige à nous revoir et à nous remettre en question. Cela peut être un Noël différent. Ça doit être différent. Pour ceux qui croient et pour ceux qui ne croient pas. Il est peut-être temps de garder le silence et d'écouter les grillons dans l'obscurité. De se calmer. Pour éteindre les téléphones et revenir à la vie privée perdue. S'asseoir à table. Pour parler de nous, des autres et de l'être humain. Se souvenir de ceux qui souffrent à Noël et leur donner un mot affectueux. Pour nous dire des mots affectueux. Pour reprendre conscience. Valoriser ce que vous avez, sans plus. Merci de nous accueillir. Regardez-nous. Écoutez-nous. Sentez-nous. Touchez-nous C'est peut-être à ce sujet. Simplement de cela. Imaginer ensemble dans l'intimité d'une crèche, par une nuit calme.

                                                                 ***


                                  NAVIDAD



          
 Hace muchos años, tantos que ya ni me acuerdo, se celebraba la Navidad de otra manera. Son imágenes que uno tiene en la cabeza. Es la historia que se ha ido contando a través de los siglos. Es la hazaña de un hombre, una mujer y un recién nacido. Estaban en un establo. No había otro lugar para ellos en la ciudad. Él y ella estaban agotados. Los imagino con hambre y con frío. Venían de un largo viaje montados sobre un animal, huyendo de una tierra que los miraba con sospecha. A ella como a una adúltera. A él, como a un cornudo encubridor. Debieron pasar allí algunas horas antes del alumbramiento. Ella echada sobre un fardo de paja, con su panza enorme y la respiración agitada.
 Él acomodándola con ternura, protegiéndola de las arañas, y trayendo algo de agua en una vasija rota. Un buey miraba, como testigo de algo sencillo pero grande. Él le tomaba la mano y ella le devolvía una mirada cómplice y cansada. Tenían miedo, pero también la paz de una noche tranquila. Parió sin anestesia. Empujó ya casi sin fuerzas. Dolía. Dolía mucho.
 Él la asistió como pudo, torpemente. Había sangre y un olor intenso. Encontró la cabeza del pequeño y la acomodó entre sus manos. Falta poco, le dijo a su mujer. Se escuchó un llanto agudo e interrumpido. ¡Es un niño!, gritó él. Lo envolvió entre unas telas viejas y lo dejó en los brazos de María. Se llamaba María. Ella, lloró. Él encontró sus ojos y le dijo que la quería. Ella se enchufó al pequeño en su pechuga. ¡Auch!, se quejó. Rieron. Se quedaron en silencio un buen rato. 
 El buey no dejaba de mirarlos y ellos no dejaban de mirar al pequeño que ronroneaba como si fuera un gato. Se llamará Jesús, dijo ella mientras lo acariciaba. Ni los visitantes que llegaron siguiendo una estrella consiguieron romper la intimidad de ese tiempo. Dicen que eran sacerdotes, astrólogos y hombres sabios. Cuando entraron al establo, José sintió vergüenza. No tengo qué ofrecerles, les dijo. Quizás un poco de agua, agregó. Ellos movieron sus manos en señal de despreocupación. Venimos a acompañarlos un ratito, le contestaron. Comentaron del recién nacido. De sus mechas tiesas y su boca pequeña. Rieron en voz baja.

 Después de unos minutos se pusieron de pie y anunciaron su retirada. Esta familia debe descansar, comentaron. Les dejaron un poco de oro, mirra e incienso. Se dieron palmotazos y buenos deseos. Volvieron por el mismo camino que les dibujó la estrella. En el establo quedaron él, ella y el niño. María se durmió y José (ese era su nombre) permaneció vigilante con las aprensiones de un padre primerizo. Así se celebraba – al menos como imagino- la primera Navidad.

Pero las cosas han cambiado. El tiempo va cubriendo la memoria y la vida moderna también hace lo suyo. Lo cierto es que las navidades de hoy se celebran lejos, muy lejos, de la intimidad de aquella época. Lo que va quedando es un pesebre armado a los pies del árbol de pascua. Es apenas un guiño, un símbolo endeble, un check en la larga lista de obligaciones navideñas. Esa noche de paz se nos ha convertido en días y en noches ajetreadas, colmadas de actividades, a la rápida, a la carrera, de tienda en tienda, cargando bolsas de un lado a otro, envolviendo, etiquetando, con el pelo revuelto y los ojos caídos. Nadie quiere pasar la vergüenza de José de tener apenas un vaso de agua.

Es verdad. Es una tradición. Lo de los regalos, digo. Es una oportunidad también de entregar cariño y seguir incubando en nuestros hijos una historia mágica. La de un viejo que anda por el mundo, en un trineo tirado por renos, bajando por el hollín de las chimeneas, repartiendo paquetes a destajo. Pero no es él quién está de cumpleaños. No es a él a quién recordamos en Navidad. Es otro. Es ese pequeño que nació ante los ojos de un buey, con las mechas tiesas y la boca chica, el del llanto interrumpido, el de la mordida enérgica, el tipo justo y revolucionario. Es el hombre de otra lógica, el de las bienaventuranzas, el paladín de los pobres, los humillados y los perseguidos. Es el que denuncia la injusticia. Es el que comparte el pan. Es el del prójimo, el que ama, acoge y perdona. Es el que arriesgó su vida. Es el que hinchó tanto que lo mataron. Es al que seguimos matando. Es el que se le pierde a la Iglesia y a buena parte de los creyentes. Es el que a mí también se me extravía.


Pienso en todo esto en el Chile de hoy. Un país que nos exige revisarnos y cuestionarnos. Esta puede ser una Navidad distinta. Tiene que ser diferente. Para los que creen y para los que no. Quizás sea el momento de guardar silencio y escuchar los grillos en la oscuridad. De aquietarnos. De apagar los teléfonos y volver a la intimidad perdida. De sentarnos a la mesa. De conversar de nosotros, de los otros y del ser humano. De acordarnos de los que sufren en Navidad y darles una palabra cariñosa. De decirnos palabras cariñosas. De recobrar el sentido. De valorar lo que se tiene, sin más. De agradecer tenernos. Mirarnos. Escucharnos. Olernos. Tocarnos. Tal vez se trate de eso. Simplemente de eso. De imaginarnos juntos en la intimidad de un pesebre, en una noche tranquila.


                                    ***

22.12.19






      « JOYEUX NOËL ET BONNE ANNÉE » 
de la famille royal Belge en quatre langues : le français, le néerlandais, l’allemand et l’anglais. 

Sur les réseaux sociaux, le Palais a diffusé la traditionnelle photo de fin d’année, sorte de carte de vœux pour la famille royale. On y retrouve bien sûr le
roi Philippe et la reine Mathilde ainsi que leurs quatre enfants : la princesse Elisabeth, le prince Gabriel, le prince Emmanuel et la princesse Eléonore.


                                       ***

15.12.19


Former US Vice-President Al Gore warns of COP25 failure
(ENGLISH - FRENCH)



The Capitals brings you the latest news from across Europe, through on-the-ground reporting by EURACTIV’s media network. You can subscribe to the newsletter here.
Also, feel free to have a look at the interview conducted by Sarantis Michalopoulos with the boss of the World Bioenergy Association (WBA): “Biofuel expert calls on EU to revisit RED II to avoid ‘impetus of oil’.
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MADRID. Former US Vice-President Al Gore described the United Nations climate summit in Madrid as a crucial opportunity to boost ambitions in the fight against the climate crisis but warned that a current lack of consensus in the international community could lead to failure.
“The fossil fuel companies are using their political power and campaign contributions and lobbying and revolving door system to slow down the changes that are desperately needed,” Al Gore said.
In an interview with EURACTIV’s partner Efe, the 2007 Nobel Peace Prize winner said he nonetheless held on to some hope that an agreement would be landed in the final crunch hours of the COP25, as is usually the case in his experience.
“There is always danger in the final week of these conferences, so that’s not unusual. But I would say it’s a bit more this year than usual,” he said, adding that countries like Saudi Arabia are trying to block progress. “They will not even endorse science. And they’re demanding to be paid for any reduction in their oil output,” he said.
“Brazil is demanding dishonest accounting, double-counting of emissions reductions, they’re the only country making such a demand,” he added.
He described an “absurd” situation, saying we’re trapping as much extra heat in the Earth’s system every day as would be released by 500,000 Hiroshima-class atomic bombs exploding every day.
Al Gore urged Europe and other parts of the world to stop subsidising fossil fuels and back a rapid transition to renewable electricity, electric cars and trucks.
Referring to the intention of Donald Trump’s administration to pull out of the Paris Climate Agreement, he said that under the agreement, this can only be done starting from the first day after the next US presidential election,11 months from now.
“So, this decision is in the hands of the American voters and if a new president is elected, that president could give 30-days notice and the US would re-enter the Paris Agreement,” he said. Al Gore also said he was a “big admirer” of Greta Thunberg, saying her movement is not a “passing fashion”.
[Amaya Quincoces | EFE]


COP25

(ESPAGNOL- FRANÇAIS)

  SE LOGRA ACUERDO QUE BUSCARÀ AUMENTAR LA AMBICION CLIMÀTICA EN 2010 Y CUMPLIR CON EL ACUERDO DE PARIS

  Tras dos días extras de debate debido al rechazo inicial de documento presentado, los países participantes estipularon que el conocimiento cientifico serà el eje principal para orientar las decisiones climáticas.

L'ACCORD RÉALISÉ IL RECHERCHERA À AUGMENTER L'AMBITION CLIMATIQUE EN 2010 ET CONTRAIGNAT À L'ACCORD DE PARIS

   Après deux jours de débat supplémentaires en raison du rejet initial du document présenté, les pays participants ont stipulé que les connaissances scientifiques seront l'axe principal pour guider les décisions climatiques.

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14.12.19


COP25 -  URGENT

espagnol-français


La COP25 (195 pais + la Union Europea) como en todas las COP, es bueno que se organicen en rotaciones de diferentes países como anfitriones de todas las representaciones internacionales (y bajo los auspicios de las Naciones Unidas). Pero la PRESIDENCIA debe ser ejercida por una COMISIÓN INTERNACIONAL DE EXPERTOS EN EL ÁMBITO DE LA ECOLOGÍA Y EL CAMBIO CLIMÁTICO.

 La presidencia de esta enorme e importante reunión anual es un trabajo que requiere visión, conocimiento, experiencia y capacidad de sintetizar en relación con todas las posibles variables que se resolverán para el interés actual del PLANETA y NUESTRA VIDA.
No podemos dejarlo presidir por una sola persona que tampoco sea experta en la dirección planetaria (!) para este evento de enorme trascendencia global. Ha sido un error que se ha cometido, ha retrasado y entorpecido los objetivos casi siempre (los acuerdos de la COP21 en Paris fueron realizados por un grupo de personas con gran dificultad...).

De esta manera, nos encontraremos en un punto muerto cada año, perdemos la gran oportunidad de organizar las variables que en este momento son enormes, relacionadas con cada país, plenariamente con sus diferentes alternativas y poder combinar, un todo coherente para todos!

Hay que ver esto con urgencia, resolverlo AHORA! ...

BENDICIONES!


 La COP25 (195 pays + l’Union Européenne) comme dans toute les COP, c’est très bien qu’il y soient organisation des rotation en différents pays hôte des représentations internationaux des toutes les pays, (et sous l’égide des Nations-Unies). Mais, la PRÉSIDENCE il doit être exercé par une COMMISSION INTERNATIONAL D’EXPERTISE DANS LE DOMAINE D’ÉCOLOGIE ET DU CHANGEMENT CLIMATIQUE. 


La présidence de cet enorme et importante réunion annuel, c’est une travail qui demande une vision, connaissance et capacité de synthèse par rapport à toutes les variables possibles à tenir et résoudre pour l’intérêt actuel du PLANÈTE et NOTRE VIE.
On peut pas le laisser à charge dune seule personne quil nest pas experte non plus dans la direction planétaire (!) de cette enorme et éprouvant rencontre avec transcendance global.  Ca été un erreur qui traîne et retarde depuis toujours. (les accord de la COP21 de Paris ça été réalisé par un groupe de personnes avec grands difficultés)

  Dans cette manière, on vas se trouver dans l’impasse chaque année, on vas perdre la grand opportunité de maîtriser toutes les variables que dans ce moment sont enormes, relatives à chaque pays et planétairement avec ces différents alternatives, et pouvoir conjuguer, maîtriser dans un tout cohérent pour tous

Il faut voir de manière urgent ceci, le résoudre MAINTENANT!...

BÉNÉDICTIONS!

Elgodiv

7.12.19




Multitudinaire marche social- Octobre 2019- Santiago de Chile (image-drone)
Video:

A Madrid, une marche pour le climat pour mettre la ... - YouTube

2019                              
                                      ses plus grands  messages
   
     Les grands mobilisations citoyennes pour une majeur justice social et conscience planétaire dans le monde. 

    Témoignages humains de la grand violence social exercé, de l’irresponsabilité et l’inconscience des politiques mondiaux face aux
 changement climatique et ses inquiétant conséquences ad portas..

        Bon courage et PAIX dans le monde! 


                                 
  ***
                          

30.11.19


          NOUVELLE PRÉSIDENCE D'EUROPE


Le cher Polonais Donald Tusk a remis au Belge Charles Michel la clochette présidentielle qu’il avait reçue il y a cinq ans des mains d’un autre Belge, Herman Van Rompuy.

Après Herman Van Rompuy, le haïku de la politique belge, après Donald Tusk, le Polonais au verbe acéré, voici donc un deuxième Belge, qui accède au sommet des fonctions européennes. Un représentant de cette génération des « quadras » aujourd’hui au pouvoir dans une dizaine d’Etats membres de l’Union européenne.

L’Union européenne doit devenir le leader mondial de l’économie verte et se montrer plus sûre d’elle sur la scène internationale, a affirmé vendredi Charles Michel en recevant symboliquement la présidence du Conseil européen des mains de son prédécesseur Donald Tusk.

Charles Michel entame son mandat de président du Conseil européen ce dimanche 1er décembre – c’était prévu – en même temps que la nouvelle Commission – retardée, elle, d’un mois. « Je ne me laisserai pas enfermer dans l’Europe-tour d’ivoire », affirme-t-il au « Soir ».

« Je veux que l’Europe devienne le leader mondial de l’économie verte, avec des emplois, de l’innovation et une haute qualité de vie », a affirmé l’ancien Premier ministre belge devant le personnel du Conseil. Il a rappelé que la jeunesse avait « lancé un appel à nos consciences ». « Nous devons saisir cette opportunité ».

M. Michel s’inscrit ainsi sur la même ligne que la prochaine présidente de la Commission Ursula von der Leyen, dont la priorité absolue est un « green deal » (pacte vert) ambitionnant la neutralité climatique en 2050. 
Une poignée de pays d’Europe de l’Est très dépendants du charbon contestent toutefois toujours cet objectif. Dans un discours volontariste, celui qui devient le premier libéral à endosser la présidence du cercle des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union a martelé la nécessité pour l’Europe de prendre davantage de place sur la scène mondiale.

extrait info: LE SOIR. be

26.11.19


     LE MERVEILLEUX MESSAGE DES ANIMAUX


Au Canada, un chien errant sauve du froid des chatons abandonnés

Publié le mardi 26 novembre 2019 à 07h23 - Mis à jour le mardi 26 novembre 2019 à 07h32
Comme chien et chat? 
Au Canada, cinq chatons abandonnés ont été retrouvés blottis contre un chien errant les protégeant du froid, et le refuge qui les a accueillis a depuis reçu des dizaines de demandes d'adoption de tout le continent.

Par une nuit glaciale, Serenity, comme elle a été baptisée par les sauveteurs, a été découverte par des passants dans un fossé au bord de la route près de Chatham, en Ontario la semaine dernière. Couverte de neige par -3 degrés, la bâtarde âgée de deux ans offrait la chaleur de son corps à une portée de chatons noirs "blottis contre elle", a raconté lundi à l'AFP Myriam Armstrong, porte-parole d'un refuge pour animaux. "Les chatons n'auraient pas survécu au froid de l'hiver canadien sans l'aide de cette chienne", a expliqué Mme Armstrong. Les compagnons d'infortune ont alors été amenés au refuge, où ils se sont réchauffés et restaurés.

« Serenity" la gardienne, pose orgulleuse avec quelques uns des ses petits chatons...



Serenity, on t’aime beaucoup!


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18.11.19




           LE CHEMIN DE GUERISON SOCIAL
          ET LA CULTURE COMME CHEMIN 

  Le plus difficile dans une thérapie spécialement social, c’est d’avoir le courage de regarder les causes de la maladie. Plus vite on visualise l’origine des conflit organique à tout niveau, même que parfois on peu pas le révéler directement, plus vite le conflit qu’il arrive à la violence, par accumulation, simulation, détournement, aliénation, on peu le canaliser vers une situations civilisé.

  Mais cela demande croissance émotionnel, signifie respect, signifie retenir le besoin d’imposer propos personnels nourris de passions de long haleine qu’il ne prennent pas d'un bouc-émisaire pour se canaliser, sinon d’un responsabilité interne. Signifie apprendre à se regarder à soi-même avec honnêteté. Pas facile pour celui ou celle qui comme un enfant gâté, piétine pour avoir d’attention à la force... comme il veut, quand il veut, sinon déclare la guerre.  

 Actuellement il faut un être humain qu’il s’ouvre au delà des intérêt émotionnels réduits, petits, seul matériels. Le grandeur il n’est pas seulement vers l’externe, sinon vers tout internement. 

   La politique vraiement démocratique, comme organisation humaine, aujourd’hui a un important et difficile rôle social et écologique local et planétaire. Il faut que notre conscience s’ouvre à la force au nouveau paradigme humaine. L’économie doit se mettre au service du bien commun et être l’objectif à l’envers, la base dans le social et l’écologie global.


  On doit commencer une forme de rétro-alimentation social intégral.


   Après des années d’un matérialisme sauvage, boulimique, irresponsable, maintenant il faut qu’on assume une nouvelle conscience que vise pas seulement l’individuel, sinon le bien commun. 

   De cette manière on pourrai vaincre le cancer qu’il se geste au niveau externe d’abord, dans le rapport humain, dans la métastases d’énergies ou concentration acromegalique des usines, réacteurs nucléaires, mega-supermarchés où on perd le rapport humain-nature et il n’y a pas de l’air, les villes débordés des circulations contaminants et les rapports humains ainsi qu’il perd sens et valeur digne dans les concentrations architecturaux trop fermés en soi même, où l’entropie qui engloutie les personnes devienne un pouvoir menaçant...  

   Tout cet monde il doit se métamorphoser...vite. 

   Le processus de guérison social en cours au niveau mondial il est douloureux et difficile. Mais je suis confiant que chaque groupe humain, chaque pays trouve sont temps, il s’ouvre aux nouveaux airs évolutives, il s’ouvre à la co-création et solidarité.

    Je suis heureuse que le processus en nombreuses pays retrouve enfin une vraie appelle et possibilité de réponse loyal à la demande de tous. Il faut assumer une grand population en attente, dans le vide du groupe, parfois trop blessé, dangereux, pourtant qu’il ressemblent avoir tout. Parfois pas un affaire d’argent, mais bien un problème CULTUREL, de in-satisfaction avec ce qu’on fait, ce qu’on est, qu’on projète vers celui toujours qu’on crois plus heureux, plus libre, et essayer de lavoir, de le détruire.


C’EST LA MALADIE DE L’ÊTRE ET PARAÎTRE, PARCE QUE LE MONDE ACTUEL IL A ÉTÉ FONDÉE TROP ET PUREMENT DANS L’AVOIR.


BÉNÉDICTIONS!


Elgodiv