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17.6.19



                                LA GRAND PARADOXE
        La Naturel fragilité humaine actuel.
                      (edition complété)

  En petit enfant normalement est l’incarnation de tout ce qui est l’innocence, l’inconscience, la joie, la curiosité, le jeu, l’étonnement, l’élan de vivre…etc.
  Le processus d’apprentissage des petits on le sait, se réalise de manière central dans la famille et dans l’école. Tous les conditionnement futurs ils viennent de ces deux ambiances…naturel humain.
  Il faut souligner naturel humain, parce que actuellement de naturel il y a peu, et humain…je ne sait pas combien il y en a vraiment de manière adéquat pour nourrir positivement l’émotion et lesprit des enfants. Ce qui donne le sens d’être humain spécialement à l’étape plus vulnérable..(…).

   Actuellement il m’a fort choqué le sauvage crime réalisé par des jeunes à un copain à eux à Liège, Belgique. Adolescents qu’ils peuvent arriver à agir en plein conscience (sans drogue ni alcohol…?) vers un d’eux, plus vulnérable, sans défense…jusqu’a arriver à sa mort suite à planification délibéré de torture et des horreurs de tout genre par eux.
   Les groupes d’enfants il sont été jugée coupables suite aux procédures judicieux normaux ouvert au public. Leur condamnation est la prison à vie ou nombreuses années encore à considérer.
  Qu’est ce qu’il peu résoudre que un adolescent puisse être condamnée par un crime dans une prison?
  Mon effroi maintenant augmente considérablement. Qu’est ce qu’il vont subir et continuer à « apprendre » ces adolescents dans la prison?

   Il faut se rend compte. Tout ce que un enfant va faire dans la vie, c’est REFLET de ce qu’il appris, et ce qu’il a VEÇU dès qu’il est naît. Et puis ces expériences quand adultes, il vont évoluer, se métamorphoser vers les autres, comme projection de cela. 
  
  Tout ce qu’on souffre donc quand on est petit, il va se traduire et projeter d’adolescent et puis quand adulte, s’il ne pas résolus, pas assaini, vers ceux qu’il représente et touche la propre faiblesse. Il se canalise le douleur donc vers celui qu’il représente la raison par lequel on a souffert, celui qui touche le point faible de soi même, qu’il reflète le douleur, la plaie, le négative, ou bien, au contraire, dans ce qu’on est pas, ce qu’on a pas pu réaliser et que «l’autre »oui.  Dans le deux cas, le sujet qu’on veut  comme victime, il est en fait une représentation de LA FRUSTRATION INTERNE.*

  Dans le deux cas d’évolution interne blessé et pas assaini émotionnel et psychologiquement, de coeur, (la mauvaise expérience d’enfance ou jeune adolescent) peut devenir un danger.
  Soit pour une personne sans défense, ou bien pour une personne qui excelle dans n’importe quel domaine, pour une être blessé internement, l’objet de « défoulement » de sa frustration, est toujours très désiré. Ainsi la réalisation potentiel d’un crime ou fait délictuel, commencent par lharcélement, est une forme de besoin de compensation d’un plaisir insatisfait, une expression sadomasochiste de la propre frustration d’enfance ou adolescence ou, linstrumentalisation de sa propre blessure.

  Soit un adolescent, travailleur, adulte professionnel, femme ou homme de pouvoir, politique, ou prêtre, tous, à différents degrés, sont susceptibles aujourd’hui de devenir potentiels prédateurs, ou victimes, de manière ouverte ou oculte, dans la mesure qu’il ne canalisent pas positivement sa vie personnel d’enfance, dadolescence à l'âge adulte, les « zones obscures » émotionnels refoulés, les point où il sont été blessés. Même que parfois, dans les apparences « ils ont tout » et cest tout parfait, mais il se trouvent tout à coup face à ces faux scénarios externes, sans aucun vérité intérieur, produit seul dune marathon vital d’acquit des rapports et choses des autres. Seul des vols identitaires.

Mais pourquoi actuellement ceci il paraît-il  si fortement?
 Il me semble qu’il se met en évidence les profonds erreurs de la vie consumériste compétitive contemporaine, le besoin du succès à n’importe quel prix, le vide des valeurs patriarcaux négatives dans la vie et famille, avec l’école avec des programes encore en retard évolutive et des institutions bureaucratiques parfois assez des-humanisés. Se créant ainsi une grand manque de sens existentiel avec des conséquences visibles.

Condamner en adolescent à la carcel?
Difficile d’agir en justice, mais cela il me semble que c’est nourrir encore plus la blessure originel.

 Quelques idées: plan de rehabilitation psychologique intégral, holistique; ça veut dire individuel, social, global, avec de travaux de sensibilisation dans la nature, les plantes et des animaux; et très important, étude et pratique de lart avec... beaucoup de musique spécialément classique. Tout cela pour assainir les émotions travaillant avec le coeur.


   Le pardon de la réclusion doit être remplacé pour un service communautaire productif thérapeutique, vers la sensibilisation, lamour pour soi-même, vers les autres, vers toute la vie et la découverte de sa propre identité.
                               

Elgodiv

* Dans"Psychanalyse des contes de fées" de Bruno Bettelheim il y a de belle information spirituel de la sagesse interne qu’on y trouve dans les anciens comptes adressés à l’infance et l’adolescence, maintenant assez actuel et avec beaucoup des suivis littéraires...
  Plus profond connaissance pedagogique on y trouve aussi dans l'immense information sur le connaissance des âges évolutives dans l’être humain de R. Steiner, fondateur de la pédagogie Waldorf.

15.6.19

OPINIONS


« Mais délivre-nous du Mal»
Une chronique d'Eric de Beukelaer.

 Le mal spirituel dont sont atteints les bourreaux de Valentin est ce parasite de l’âme qui, graduellement, nous déshumanise et déshumanise notre regard sur le monde.

  D’habitude, je ne m’intéresse guère à l’actualité judiciaire traitant d’affaires criminelles. Dédain d’intellectuel face à la rubrique des faits divers ? Sans doute un peu, mais pas seulement. S’il y a un enjeu démocratique à informer le public sur le difficile travail des tribunaux, je pense que la justice se rend plus sereinement loin de l’œil des médias, de par l’émotion que trop d’attention charrie.

  L’affaire “Valentin”, jugée aux assises de Liège, constitue cependant pour moi une exception, car – comme tant d’autres – cette histoire me remue profondément. Valentin était ce jeune homme souffrant d’un léger handicap mental, qui eut la malencontreuse idée de vouloir passer une soirée chez d’autres jeunes qu’il considérait ses amis. Ceux-ci passeront toute une nuit à l’insulter, l’humilier, le violenter sexuellement, le torturer, le frapper… avant de le balancer vivant et menotté dans la Meuse, où son cadavre fut repêché une semaine plus tard.

 Dans cette sordide séquence, ce qui glace au-delà de l’imaginable, c’est la gratuité du mal commis. Les bourreaux de Valentin n’avaient rien à obtenir de leur victime, si ce n’est le plaisir de faire souffrir un innocent le plus longuement et le plus cruellement possible. 
 Le profil des jeunes accusés ne fait qu’ajouter au trouble. Aucun n’est un criminel endurci ou un fou furieux et asocial. Ce sont de jeunes gens, quelque peu désœuvrés certes, mais plutôt pareils à tant d’autres qui courent nos rues et nos écoles. Très légitimement, les sciences humaines sont appelées à la rescousse pour expliquer l’inexplicable. Les psychologues nous parlent donc de profil psychopathique et de dynamique d’entraînement d’un groupe s’acharnant sur la victime déshumanisée pour assouvir des pulsions inavouables. 
  Les sociologues brossent le milieu d’origine des auteurs, expliquant leur manque de repères moraux. Tenant compte de tout cela, la justice a pour mission d’offrir une réponse sociétale la plus humaine possible en réaction à l’inhumain.

 Reste l’enjeu spirituel et la question du mal. Notre société sécularisée résiste à l’évoquer, car il n’y a de “mal” que par rapport à un “bien”. Et ceci pointe immanquablement vers une Transcendance – quel que soit le nom qui Lui est donné.
 En clôturant la récente réunion des évêques sur les abus sexuels dans l’Église, le pape François dénonça l’action du Malin. Ce faisant, il provoqua la raillerie de ceux qui reprochaient au Pontife d’ainsi évacuer la responsabilité des coupables, excusables d’avoir dès lors agi sous emprise.

 J’invite ces critiques à voir ou revoir l’excellent film : “l’Associé du diable” (1997). Al Pacino y campe un Lucifer travesti en patron de grand cabinet juridique. Comme l’ange du mal ne peut violer le libre arbitre de l’homme, il le pervertit par la tentation. Cédant graduellement à celle-ci par vanité et orgueil, un jeune avocat, interprété par Keanu Reeves, devient – pas à pas et sans trop de ruptures permettant une prise de conscience – l’associé du diable… Le mal spirituel est ce parasite de l’âme qui graduellement nous déshumanise et déshumanise notre regard sur le monde.

  Les bourreaux de Valentin ne sont pas des monstres. Pour eux aussi, il peut y avoir une rédemption. Mais ils se sont comportés de façon monstrueuse. Leur déchéance morale a peut-être commencé, lorsqu’enfant ils arrachaient – une à une – les pattes d’une araignée. Elle s’est sans doute poursuivie par “le jeu” du harcèlement scolaire. Puis, il y eut Valentin… Mystère du mal, qui pourrit l’âme de façon graduelle et indolore. “Et ne nous laisse pas entrer en tentation, mais délivre-nous du Mal” . Loin d’être le reliquat d’une antique pensée magique et sacrale, la finale du Notre-Père ramène au combat spirituel quotidien. Celui qui nous enjoint à cultiver l’éveil spirituel, afin que ne soit pas anesthésiée notre humanité.

La libre.be

Contribution externe

10.6.19


LUNDI 10 JUIN 2019 - PENTECÔTE

Jan 2, 2011 - Uploaded by OneWingedSeraphim
A beautiful Taizé chant Laudate DominumLaudate Dominum. Omnes! Gentes! Alleluia! Sing, praise ...

8.6.19






   LE COQUELICOT, UN MESSAGE DU FRONT,    
                UN MESSAGE INFINI DAMOUR

   Il y a une fleur plus adorable, délicate, que le coquelicot?
   Dans le langage des fleurs, les coquelicot il sont une place très important: symbole de l’amour éternel, des bons rêves, et... renaissance affective..
  
  Dans l’Antiquité, les Égyptiens utilisaient les pétales de coquelicot pour les disposer un peu partout dans les tombeaux afin que les défunts puissent avoir de bons et doux sommeils. 
Chez les grecs, la fleur relève plutôt d’un mythe où Morphée, inquiet de voir Déméter lasse de rechercher sa fille Perséphone, lui offre un bouquet de coquelicot pour s’endormir.
 Mais ce fleur a transformé les champs de bataille et mort... en renaissance...        
  L’unique chose qui poussait autour des tranchées dans le “No-mansland” en Belgique étaient les coquelicots, comme des gouttes de sang sur le champ de bataille.



  C’est pour ça qu’ils sont devenus le symbole dès la première guerre mondiale.



 En North-Amérique, Angleterre et au Canada, le 11 Novembre est la journée internationale de remémoration “ Poppyday” jour des coquelicots, ou les gens portent un coquelicot artificiel dans le revers de leur veste. 

  En Belgique, on dépose des coquelicots sur les tombes de guerre. Avec la vente de ces fleurs, les victimes de la guerre et leur famille sont aidées financièrement.
Avant, le coquelicot poussait avec le bleuet, de façon massive sur nos champs de blé. Ils ont presque disparu avec l’utilisation des pesticides et d’engrais chimique.


Des coquelicots poussent surtout dans une terre fraîchement labourée. Aujourd’hui ce qui est charmante c’est qu’on peut les trouver dans le lieux plus inattendu et insolite, tant isolée comme dans un infini tapis...

coquelicot



***

sources* elgodiv

1.6.19


Reflexion




  La civilisation occidental il me semble qu’il doit re-trouver le sens transcendent de la vie qui vient à partir de l’amour et le sexe. 

  Etant le sexe actuellement une expression fort et dramatiquement consumériste, trop séparé de l’amour, pourtant que dans cet union là, se trouve l’échelle, le lien, pont d’élévation pas nécessairement physique! vers l’ouverture de la conscience, notre esprit, l’unité corps-esprit qui nous donne et régénère la VIE. Source de renaissance et éternité.

  L' écologie profonde, racine de tout, commence ainsi dans un regard interne, humble, de com-passion et respect vers notre propre condition de vie humaine.


Elgodiv