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FRANCE - Ouverture vers una mission
Ce n’est pas la prémière fois que la mort d’une personne (même inconnue), il peu provoquer un changement de la conscience, un tremblement émotionnel tel qu’il déclenche des canalisations révélatrices, accompagnés parfois des catharsis très différemment. Mais au delà d’un processus personnel, de manière primordiale, il s’agi ici d’une trouble collective, et c’est cela qui m’a interpellée énormément, se délinéant clairement comme une évidence, à connaître…
L’impressionnant départ du Lieutenant-colonel Arnaud Bertram, dont l’émotion provoqué il m’a fait questionner sur le vraie sens qu’il y avait derrière tout et c’est cette interrogation, cette besoin presque d’urgence, qu’il m’a amenée peut être à chercher dans cet tragique événement, une forme de décodage des situations au dessus de le visualiser comme un ponctuels accident terroriste.
Dans cet esprit, on peut voir le scénario dans l’ensemble, comme la figuration d’un enclave humain;
à savoir, l’intérieur d’un espace publique, dans un lieu lointain de France, où il y a eu en peu de temps, plusieurs blessés et morts sous la même main, une jeune femme-otage est menacée dans un moment directement par le sujet terroriste; en suite, surgit l’apparition-intervention d’un gendarme que laissant de coté ses armes, invite avec autorité (…) au terroriste, à l’échanger à la place de la femme…
Le résultât extraordinairement dramatique (suite à une lutte méconnue) avec l’agonie et mort du gendarme, mort du terroriste, laisse ainsi la jeune femme vivante.
Qui représente la jeune femme dans l’ensemble?
Qui représente l’homme qui sauve à la femme face aux contingences?
Et soudain je voit en cette représentation, l’avertissement, de quelque chose si grotesque et claire, comme urgente.
La jeune femme sauvée est la représentation de France (?…)
Le plus important, sauver à la femme, il été clair pour le gendarme Lieutenant-colonel A. Bertram.
Qui représente lui, qui métaphoriquement « sauve » la France?
Comme synthèse, suite à ce temps de grands réflexions à tous niveaux; il représente sans doute l’intégrité humaine- religieuse, que à travers un « geste-mandat », déclenche un processus christique en synchronie aux célébrations des Pâques en cours; il accompli le sens du passage à une renaissance spirituel individuel et collectif, propre des Pâques. Synchronie de plus, indicatrice de la sacralisé des faits, observée du début par plusieurs personnes, tant hauts représentant chrétiens, comme personnes de différents affiliations religieuses ou non.
La sacralisation du geste d’un tel homme, qu’il rayonne humainement à tout un pays et ailleurs, je vois qu’il représente ainsi une OUVERTURE, révèle en fait, la mission que France doit assumer de manière urgente; mission à l’intérieur de la collectivité national, du même qu’au niveau international. Laquelle?
La France doit assumer sa mission-vocation en dette, comme protectrice de la terre et culture française, tant celle qui est au lointain, comme plus près; être protectrice des lieux saints nationaux et internationaux, et de manière central, en Terre Sainte-Jerusalem. Etant celle-ci une responsabilité historique de long date qui se trouve aux registres de tout genre.
Etre laïque il n’est pas en contradiction avec les valeurs de l’esprit chrétienne d’unité, loyauté et amour au proche. Car il représente une manifestation citoyenne ouverte, protectrice des libertés, mais il doit se centraliser essentiellement à partir de l’esprit et mission originel qui a façonné la France et les français, à savoir, celui de la chrétienté.
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Ça n’a pas été facile exprimer un sujet qu’il touche toute sort des sensibilités, religieuses, politiques, etc. mais en ce moment je crois qu’il faut aller en tout, au delà des clivages et dérives humaines, et au contraire, prend le meilleurs de tous, intégrer la coopération humaine en tant que expérience culturel diversifiée, patrimoine et histoire commun, spécialement local.
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