Translate

Translate

5.4.09



Vers une Architecture Holistique

"Veritable trait d’union entre la sagesse ancestrale et les technologies le plus modernes, une nouvelle conception architecturale émerge depuis quelques décennies.
Saura-t-elle tenir ses promesses ?
Voyage au pays des formes….

Depuis le fin du siècle dernier, on assiste à une passionnante évolutionde l’architecture, insufflée par une nouvelle génération d’architectes en provenance des quatre coins de la planète. Véritable retour aux sources, tous ont en commun la conception d’un mode de vie en harmonie avec la nature de l’être humain. En réalité, cette vision n’est pas nouvelle, elle est aussi ancienne que l’architecture elle-même. Elle remonte à la nuit des temps quand les premier peuples autochtones respectaient les forces primordiales de la nature et construisaient en fonction d’elles. Partout, les formes de l’habitat s’efforçaient d’exprimer une harmonie entre les hommes, la nature et le cosmos, afin de relier la terre et les créatures à l’Esprit Créateur.

Les archéologues du monde entier ont pu établir une constante chez les premiers êtres humains (dès l’époque néolithique) en matière de construction : ils utilisaient ce qu’il avaient sous la main, construisaient pour une durée limitée et de la façon la plus adaptée aux réparations fréquentes, développaient des astuces pour conserver la chaleur lorsqu’il faisait froid et la fraîcheur lorsqu’il faisait chaud. Ils exprimaient leurs croyances spirituelles directement dans les structures ou la décoration de leur constructions….ce qui donnait à la fois des modes de réalisation très similaires et une grande diversité d’expressions.

A travers les époques, les matériaux disponibles étaient ceux offert par la nature, utilisés quasi sans transformation. Là où le bois et d’autres végétaux rigides étaient abondantes, c’est évidemment ceux-ci que l’on utilisaient en premier.
Un autre matériau naturel, particulièrement abondant, était (et sera toujours!) l’argile. Elle était appliquée ou utilisée sous forme de briques séchées au soleil. La pierre aussi était fortement utilisée, quoique plus difficile à transporter et à travailler. Plus tard, le plêtre, la chaux et le mortier – connus depuis environ 6000 av. JC. Serviront à couler ou enduire murs et sols.

Quelle que soit l’époque, l’habitat vernaculaire, c’est-à-dire propre à un pays, a toujours été l’expression des mêmes vérités : survivre et vivre sur la terre. Ce faisant, durant des millénaires, l’être humain a connu ce qui semble aujourd’hui impensable : se passer de charbon, de pétrole, d’électricité, tout en connaissant convivialité, atmosphère chaleureuse et habitat agréable !

Sagesse ancestrale

Au travers des siècles, les constructeurs ont considérablement développé la conception architectural. De simple enveloppe protectrice –articulation entre le dehors et le dedans – la maison a revêtu une fonction symbolique de plus en plus importante reflétant les croyances et les relations aux divers dimensions de l’univers environnant. Durant des millénaires, les maisons intégraient des éléments profondément spirituels : des pierres, ossements, statuettes, idoles, objets symboliques et autres espaces consacrés au culte des ancêtres. Les offrandes déposées sur les autels des divinités domestiques faisaient partie de la route quotidienne.

Puis vint les temps des penseurs, mathématiciens et autres philosophes qui firent de l’observaion du monde, de la nature et du Cosmos un véritable art.
En grec ancien, le mot « Cosmos » signifie « Ordre ». Les Pythagoriciens croyaient que l’Un, l’Achevé (que l’on peut identifier au Principe Divin) avait façonné un monde organisé, structuré, à partir d’une matière initiale qu’il appelaient l’Inachevé. L’Homme vivait alors au rythme du Grand Tout. Le mouvement des astres et le cours des saisons marquaient le rythme du travail, du repos et des réjouissances.

Les Pythagoriciens, et bien d’autres écoles de pensée, percevaient la nature comme une immense livre vivant où l’œil, suffisamment entraîné, pouvait lire les secrets même de la vie.
Une feuille, une fleur, un coquillage. Des objets anonymes, parmi l’innombrable production de la vie, révélèrent à ces observateurs attentifs un agencement géométrique précis. Et plus l’œil de ces philosophes-penseurs s’y attardait plus leurs esprit s’interrogeait et plus les découvertes se multipliaient.

Un ordre caché, sou-jacent fit son apparition. Ces formes offertes par la nature étaient l’émergence, dans la matière, du souffle et de l’intelligence de la vie. La « Géométrie Sacréé » comme l’appelèrent les Ancien, était née.

Une Géométrie Sacrée

Suivant des calculs des proportions tirés de l’observation et des loi de la nature, cette harmonie secrète fut transposée à l’art et l’architecture. Non seulement ces créations nouvelles s’inscrivaient harmonieusement dans le Cosmos, l’Ordre sou-jacent qui les avait fait naître, mais elles rayonnaient ces « divines proportions » et imprégnaient ceux qui les contemplaient. En écho à la nature, des peintures, sculptures et édifices exprimaient pour la première fois un caractère universel en résonance avec la Création, avec le Divin.

Dès la plus Haute Antiquité, les constructions sacrées du monde entier utilisèrent les principes de la géométrie sacrée, jusqu’à nos bâtisseurs des cathédrales. Léonard de Vinci maîtrisait ces calculs où l’on retrouve l’utilisation du nombre d’or- ou « divine proportion » comme il l’appelait – et celle des coudées, unités de mesure en référence au corps humain et au soleil. Dans l’architecture sacrée, le choix de l’emplacement, la position du bâti par rapport aux astres, l’harmonie des proportions et la symbolique des formes se conjugaient pour faire de l’édifice un trait d’union puissant entre la Terre-Matiére et le Ciel-Esprit.

Nombre d’Or

Comprendre la signification du nombre d’or ou, comme l’écrit si bien Né-roman : « de l’écho microcosmique du Divin dans la matiére », c’est retrouver dans tout ce qui existe – de la structure des atomes aux proportions du corps humain, des nervures d’une feuille à l’agencement des branches d’un arbre, d’une orbite planétaire à la spirale d’une galaxie – la signature d’une intelligence qui dépasse, de loin, ce que l’imagination humaine peut appréhender. Ce nombre magique, au cœur même des archétypes de la Création, est 1,618…
C’est le seul nombre qui se multiplie par lui même lorsqu’on lui ajoute 1 et qui s’inverse lorsqu’on lui retranche 1.
Par exemple, dans le corps humain, si la distance du nombril au sommet du crâne égale 1, la distance du nombril au sol sera de 1,618 ! Et cela est vraie pour les proportions des bras et avant-bras, des jambes, du dos, de la musculature, des organes….Bref de toute la structure du corps !

Architectures naturelles

Les femmes et les hommes d’aujourd’hui regardent avec admiration, voire un profond respect, les temples, les pyramides, les cathédrales et bien d’autres architecturales vieilles de centaines, voire de milliers d’années. Or, n’oublions pas que d’autres architectes existaient il y a a des millions d’années déjà. Leurs œuvres n’étaient peut-être pas dues a la pensée de quelque artiste de génie, mais à l’action continue des Lois de la Vie. Sans outil, et pour ainsi dire sans bouger, les premiers polypes coralligènes des mers chaudes ont réalisé des constructions de calcaire qui atteignent les dimensions d’immenses chaînes des montagnes immergées…et ils continuent encore à les bâtir !
Et que dire de l’enroulements spiralé des coquilles et autres carapaces hélicoidales qui évoquent inconsciemment l’idée d’évolution, de force et de vie. A chaque fois – de la coquille du nautile des mers chaudes à celle de l’escargot de nos jardins – les pulsations du développement de ces spirales sont parfaitement rythmées par le nombre d’or.

A l’image de ces mollusques et autres gastéropodes, nous avons tous notre « spirale personnelle », c’est lieu que nous construisons pour nous protéger du flux continuel de la vie…

Si l’on considère le « vivant » sous la forme de structures et géométries naturelles, véritables signatures de la vie, on comprendra aisément pourquoi les premiers architectes-mathématiciens ont cherché à concevoir des édifices et temples qui s’inscrivaient naturellement dans ce « vivant », dans ce « grand Ordre » naturel et Universel.

Rupture avec le Cosmos

A l’échelle de l’histoire, ce n’est que récemment que le monde occidental s’est coupé de ses traditions ancestrales. Durant des milliers d’années, nos ancêtres, un peu partout sur la planète, ont partagé une vision similaire de leur relation au « grand Ordre, au Cosmos. Cette vision, au contrario de celle qui prédomine actuellement sur terre, concevait l’Homme non pas comme une espèce supérieure destinée à conquérir la nature pour ses propres fins, mais comme un habitant parmi d’autres, conscient de l’interdépendance entre les éléments –terre -, feu, eau, air -, les règnes – minéral, végétal, animal, humain -, les forces de la nature, du ciel et des hiérarchies spirituelles.

A l’ère moderne, le prétendu « règne de la raison » cher à Descartes, avec ses disciples rationnelles et scientifiques, ses religions dogmatiques et ses transformations industrielles, a complètement renversé le paradigme ancestral qui imprégnait profondément tous les aspects de la vie des Hommes, de la naissance à la mort, jusque dans l’au-delà et même, pour certaines peuples, dans les incarnations futures ! la rupture avec les Cosmos, était faite…

Retrouvailles avec la Nature

Fort heureusement, dans toute rupture, il y a promesse de réconciliation !
Depuis quelques décennies, on assiste ainsi à un renouveau qui s’exprime, notamment, par un désir de retrouvailles avec la nature, avec le vivant. Certains astrologues expliqueront peut-être que ce phénomène est lié au passage de l’ère du Poisson à celle du verseau.. ?
Ce qui est sûr, c’est que notre vision du monde est un train d’évoluer profondément. On assiste à une compréhension nouvelle de notre relation à la nature, aux ressources naturelles, à notre « Vaisseau-Terre » et à notre place dans l’Univers. Et, d’après les anciens Mayas, véritables « maîtres de temps », ce processus évolutif va aller en s’accélérant !

Aujourd’hui, il est donc logique qu’il ne soit acceptable de vivre dans des bâtiments qui ne tiennent pas, ou peu, compte des questions écologiques ou qui nuisent manifestement à notre santé, à notre bien-être et, à plus forte raison, à notre épanouissement psycho-spirituel. Ces villes et ces bâtiments d’un autre âge, érigés grâce à l’exploitation des ressources limitées de la planète, et polluant la terre, l’eau et l’air avec leurs déchets toxiques, sont une forme de viol fait à l’environnement, à la Terre et finalement à nous-mêmes, puisque tout est relié dans cet Univers quantique unifié….
Quelle inconscience !

Vers une architecture « douce »…

Bonne nouvelle : rien ne nous oblige à continuer à passer notre vie dans de tels environnements, ni à les léguer à nos enfants !
Dans de nombreux pays, une nouvelle architecture est un train de naître. Véritable trait d’union entre la sagesse ancestrale et les technologies le plus modernes, elle semble avoir tiré les leçons du passé et est un phase avec les forces de la nature de son environnement. Les bâtiments issus de cette conception nouvelle s’intègrent parfaitement à l’écosystème local et global, rétablissent l’harmonie avec les forces de la nature et célèbrent le cycle des saisons. Cette approche respectueuse de la vie, et soucieuse de la santé et des énergies cosmo-telluriques, a été baptisée « architecture douce » par l’architecte Malcom Wells*

Cette conscience nouvelle du bâti en osmose avec la nature, s’est d’abord manifestée en Europe, notamment dans les pays germaniques et scandinaves, grâce au développement depuis les année ’80 de la Baubiologie, ou « architecture biologique », qui associe une architecture saine à une sensibilité écologique et spirituelle. En Amérique du Nord, un mouvement similaire prend peu à peu son essor depuis des années ’90, grâce à plusieurs architectes particulièrement créatifs et novateurs.

…et organique

D’autre mouvements architecturaux, tels que l’architecture organique, chère à Victor Horta, Frank Lloyd Wright et Rudolf Steiner, le fondateur de l’anthroposophie, évoluent parallèlement depuis le début du siècle dernier.
Pour Rudolf Steiner, qui contribua grandement à l’essor de l’architecture organique, c’est essentiellement par le mouvements de notre corps que nous pouvons « ressentir » l’architecture. Se déplacer dans un bâtiment peut-être aussi agréable que la danse. L’un des principes fondamentaux de l’architecture organique d’inspiration anthroposophique est que la forme a un profond effet sur l’atmosphère, le comportement et les émotions. Ainsi, pour Rudolf Steiner, ce sont les formes propres à la cathédrale gothique qui suscitèrent le caractère mystique du Moyen Age et non l’inverse…

Aujourd’hui, les architectes organiques sont de plus en plus nombreux à rejoindre les principes de l’architecture douce pour former les bases d’une architecture saine à tous les niveaux, une architecture nouvelle que l’on pourrait qualifier d’holistique. Mais, ce n’est pas toujours le cas…étrangement, certains de ces concepteurs en architecture organique préfèrent uniquement s’intéresser à la « santé spirituelle » de l’humain et excluent de leur réflexion la santé de son corps physique ou de celle de la Terre, ce qui - à un certain niveau – revient au même…

Conception bioclimatique

Parmi les conceptions architecturales novatrices, citons également l’architecture bioclimatique qui, elle aussi, est un retour au bon sens, à l’observation de la nature et à la créativité dont ont fait preuve de nombreux peuples au fils des âges. Ce type d’architecture recherche un équilibre entre la conception et la construction de l’habitat, son milieu (climat, environnement,…) et les modes et rythmes de vie de ses habitants. L’architecture bioclimatique réduit les besoins énergétiques, maintien une température agréable (l’hiver comme été), contrôle l’humidité et favorise l’éclairage naturel. Dans un pays tempéré, une maison bioclimatique peut fournir plus des deux tiers de ses besoins des chauffage, uniquement grâce au soleil. C’est ce qu’on appelle l’habitat solaire passif, utilisant l’architecture des bâtiments – orientation, murs, toit et fenêtres – pour capter les rayons de soleil.
Cette démarche se développe sur trois axes : capter la chaleur, la transformer/diffuser et la conserver. Dans les régions chaudes, de types méditerranéen par exemple, un quatrième axe fondamental doit être pris en compte : se protéger de la chaleur et l’évacuer !

Mais à nouveau, certains promoteurs qui proposent ce type de conception, ne tiennent pas toujours compte de la recyclabilité de la durabilité, de l’empreinte CO² et de la nature des matériaux utilisés. On comprend vite l’aberration d’un belle maison bioclimatique, super économe en énergie, mais réalisée en acier, béton armé et autres enduits synthétiques…

Un peu plus loin

Heureusement, aux quatre coins de la planète, l’engouement et la demande pour des constructions de plus en plus saines est littéralement en train de métamorphoser l’offre des professionnels de la construction. Et l’on s’en réjouit. Une preuve de plus que le consommateur détient réellement la clef (de voûte) du système…

Evidemment, on trouve encore peu de projets de constructions qui aient véritablement une portée holistique. Ainsi, certains projets de constructions sont fortement écologiques, d’autres donnent la priorité à la santé et d’autres encore à la spiritualité. Rares sont ceux qui associent avec succès deux, et à plus forte raison trois de ces composantes. Lorsque cela arrive, nous entrevoyons ce que pourrait être notre avenir.. !

Les bâtiments sont non seulement en osmose avec leur environnement, ils sont construits avec des matériaux sains et naturels (argile, bois, pierre, matières minérales, végétales,…) Ils assurent la santé de leur occupants et, plus encore, permettent à ces derniers d »éprouver une sensation de bien -être, de se sentir plus créatifs et plus autonomes sur le plan personnel, familial et professionnel. Ainsi, une maison dont la structure et les murs seraient bâtis avec amour, à l’aide de matériaux sains, contribuerait naturellement à l’équilibre intérieur et à l’évolution spirituelle de ses habitants.

Ces « néo-bâtiments » expriment un équilibre subtil et dynamique entre l’intérieur et l’extérieur. Au niveau des espaces de vie, on éprouve une succession de sensations de déplacement et de repos, comme pour la danse. Chaque forme, chaque espace, chaque texture et chaque couleur contribuent à l’épanouissement de l’être humain dans sa globalité. De plus, en associant à la correction géobiologique des perturbations cosmo-telluriques et électro-magnétiques ; les préceptes de réagencement de l’espace propes au feng-shui ; et la conception architecturale basée sur le nombre d’or, ce nouvel art de bâtir contribue à renforcer activement le processus d’auto-guérison de l’individu sur différents plans, du plus matériel au plus subtil !

Conscient que chaque forme génère une « onde de forme » qui a des effets subtils- positif- négatifs-sur son environnement , certains architectes n’hésitent pas à aller encore plus loin. Ils proposent en effet, des bâtiments qui agissent comme gigantesques ondes de forme bénéfiques pour l’environnement. A l’image des menhirs et autres pierres levées qui produisaient l’effet de veritables aiguilles d’acupuncture terrestre, les bâtiments du futur développeront les formes et ondes de formes idéales, pour que l’environnement puisse retrouver son équilibre. De plus, ces formes rehausseront la taux vibratoire local afin de guérir la nature et la terre !
Que demander de plus ?

Vivre, tout simplement

On l’aura compris, derrière la réflexion sur l’art de bâtir en osmose avec la nature et le vivant se révèle un nouvel art de vivre conscient, plus global : holistique ! Un art de vivre qui considère respectueusement chaque chose en interdépendance avec les autres et en reliance avec le Tout. Dans cette conscience nouvelle, notre maison n’est plus un objet inanimé, elle devient un aspect vivant de notre écosystème individuel, local, régional, national et planétaire.
Elle est véritablement cette troisième peau qui joue le rôle d’interface entre le monde et nous. En tant que telle, elle nous reflète et doit exprimer la vie qui nous habite. Car la vie s’exprime en nous et autour de nous à chaque instant. L’intelligence de la vie n’est pas quelque part au loin, elle est au cœur de toute chose.
Chaque choix que nous faisons, chaque instant que nous vivons, peut devenir source d’évolution pour nous et pour le monde. S’il est nécessaire d’agir (et non réagir) face aux dangers qui menacent notre biosphère, il est important de reconnaître que tout est relié et interdépendant dans cet Univers, et que ce qui se passe dans le monde n’est jamais que le reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous. Il est donc important d’apprendre à accepter toute situation et de manifester bienveillance, altruisme et joie de vivre au quotidien. Chaque jour nouveau nous invite à apprécier le mouvement de la Terre dans l’espace, l’embrasement du ciel au moment du coucher du soleil, le chant d’un oiseau, les perles de rosée sur une feuille,…
Ainsi, notre silencieuse reconnaissance et notre engagement envers la vie se relieront à ceux de quantité de femmes, d’hommes et d’enfants, en une lame de fond sans cesse croissante que rien ni personne ne pourra arrêter. Car il s’agit du mouvements spiralé de la Vie elle-même qui se déploie le plus naturellement du monde…. "

Olivier Desurmont
olivier@agendaplus.be

* David Pearson, dans l’excellent « Architecture Naturelle » chez Terre Vivante, magnifique source d’inspiration pour cet article.

No hay comentarios.: