Écologie profonde et développement durable
Concepts
dérivés des années 70 suite à la révolution culturel des années 60, plus qu’une changement des
formes il s agissais bien sûr des changement internes dès notre conscience qui répercuterais
dans nos rapport avec nos proches et le monde. Réduire tout cela seul à mesures
externes est une manipulation plus du vieux système.
Inutile manger Bio et s’abstenir de viande avec
la même conscience prédatrice, de semer et projeter un langage négative vis-à-vis
nos proches, à travers des manipulations, cynisme, rabaissement
(discrimination), distorsions mentaux (transgénisme), jugements et actions destructif
(ignorance et pas considération des cycles naturels avec retour des nos actions)
vers tous les êtres de l`environnement ; toute mesure externe ainsi, est
une solution cosmétique qui ne change rien, sauf notre poche. On peut être parfaite
naturiste mais sans changement de conscience qui modifie nos cellules, notre
constitution génétique -énergétique, et notre esprit…le Bio reste sans
s’assimiler suffisamment et il n’est qu’une belle illusion ! Condition
celle-ci nécessaire assumer à la base d’une possible changement énergétique au
niveau collective vers les énergies renouvelables.
Le
développement durable est une conséquence de cette possible nouvelle conscience,
et les systèmes politiques encore il sont trop lentement en train
d’évoluer pour intégrer des nouvelles formes que impliquent…lâcher prise
leur avidité de pouvoir (conscience prédatrice), éliminer la corruption et
convoitise qui n’a rien d’humain (il
n’est faut pas parler d’humanisme structurel). Il s’agirais vraiment d’assumer
une autre étique de vie, un « know
how» quotidienne, reconnaissant la compassion
et l’amour. Les actuels crises économiques sociaux, au niveau planétaire,
où l’enrichissement vas vers ceux qui tiens le pouvoir économique, faisant qu’augmenter
le creusé chaque fois plus envers les valeurs humains, et socio-culturels, c`est
le symptôme plus évident de ce besoin, d’autre manière, l’actuel système devienne
une menace, lorsqu’il fait naître et crée de lui même, la peur, l`extrémismes
et l’escalade terroriste.
C’est pourquoi la nécessité du changement éthique
entre liens de survivance (loi de la Jungle) pour liens du partage et d’amour. Lien ce dernier qu’implique un choix
réciproque. Celui là il existe mais généralement il est tué, et cela se produit
la plupart du temps quand on est très jeunes. Maintenant il faut changer la
donne, mais pour cela il faut faire attention. Ce temps de commencement est
très délicat; l’ancien monde n’est va pas lâcher tout simplement leur
aspirations passées parce que y est une conscience malade de pouvoir sûr
l’autre, parce que il est dépendent et enchaîné lui même à la source qu’on veut
nuire. (…)
La terre et
leur vieux système sont morts ; mais c’est le moment où les anciennes énergies
qui soutenaient ce
monde aiment plus que jamais contrôler désespérément leur « statu
quo », les consciences, pour continuer ainsi d’asservir leurs proches pour
n’importe quel moyen. Et il n’est faut pas se tromper, c’est pas un affaire de conspiration,
c’est une réalité, ici et maintenant. En
fait c’est le grand choix entre vie et mort.
Et il faut ajouter,
la vie on la gagne, on la tienne, pas avant de regarder la mort face à face; avoir
le courage de la voir, l’accepter, d’embrasser l’ombre, notre passée, notre
mémoire, notre identité, nos racines. La belle paradoxe est que de l’intérieur
de ce processus surgi enfin la vie, la renaissance, la retrouvaille avec ce
que nous sommes.
On ne doit pas construire une société d’Alzheimer, mais c’est seulement à
partir de la compassion, le pardon, pour nous intégrer à une nouvelle vie avec
plus de sens…
C’est la grand
initiation en cours à travers les médias, nos vies, dans nos cœurs…
elgodiv