ANTHROPOSOPHIE - PEDAGOGIE WALDORF, mon engagement.

   L’anthroposophie ça été une rencontre spirituel le plus consciente de ma vie et un des plus signifiant.

  Ayant finis mes études de post-licence à l’UCL l’année 1979, je devait choisir entre la possibilité d’un doctorat ( propositions très aimées) ou bien retourner à mon pays.

  Mais il y avait un mot qui surgissais dans l’écran de ma conscience de manière insistente: Anthroposophie (…), c’est quoi ça?, pourquoi il me montrent ce mot si claire et fortement?

  Dans un temps où il n’y avait pas d’internet, le seul moyen de chercher un sujet, été la bibliothèque des bouquins et documents en papier, et je venais de travailler durement dans le déménagement dès livres dès l’ancien bibliothèque de Louvain à la nouvelle bibliothèque à LLN; manière de me financier le choix de continuer ou partir.

  Ainsi, je regardais des catalogues, je parcouru des couloirs des livres encore pas tout à fait ordonnés…rien; je suis donc allé aux magasins de livres, antiquaires des bouquins, je demandé à quelques-uns…sans résultât. Et je décidée partir…

  Quelque temps après, installée face à la cheminée chez moi, en train de lire une fois de plus le vieux livre de mythes et légendes « la légende de Gilgamesh.. » il arrive juste à me chercher, un ancien copain d’architecture. ‘Ça fais beaucoup que je t’attendais pour te partager cet affaire' me dit…, ici, à quelques pas de ta maison, me voici l’école spécial « Miguel Arcangel », où suite à me présenter à Claudio Rauch, professeur d’anthroposophie (…), minutes après, il commence une conférence dont le titre: « La Légende de Gilgames »…

   Ça été le début de l’Anthroposophie pour moi.

  Face à l’évidence, mais pourtant suite à de gros réflexion,  j’ai laissé le travail pas si important que j’avait dans un bureau d’urbanisme, pour commencer un intense Séminaire Pédagogique Waldorf des deux ans, au même temps que les conférences Anthroposophiques. 

  Ainsi, à travers l’étude scientifique-spirituel du développement humain, et avec la connaissance et génesis de la pensée, cela me permettaient me plonger dans l’expérience humaine, les éléments, la nature, de manière essentiel, et aborder des sujet passionnant que je pouvait maintenant essayer mieux connaître. 

  Bien sûr que je pouvais bien comprendre que notre vie se développe selon cycles des 7 ans; comme non, si par raisons du manque de place à l’école, je devait attend, et il ne savaient pas la chance que cela avait signifié pour moi, entrer à l’école à l’âge des 7 ans! Suite bien sûre à avoir eu une apprentissage de matières élémentaires de manière naturel, intégrés, avec l’application pédagogique de ma mère; chose qu’elle adorée absolument faire!  Mais oui, comme on pouvait comprendre dans le passée, que apprend à écrire, à lire, à conter, il faut le faire de manière expérientiel avec les choses, dans le jardin, dans la cuisine, avec les animaux, lire partout on pouvait, et participants avec des gens de différents âges... beaucoup des choses qu’on pouvait trouver dans la pédagogie Waldorf encore inexistant dans le passée et dans beaucoup d’autres pédagogies actuels de développement intégrale. Ainsi, sans influence, inexistant encore, des langages électroniques, numériques, etc., et le plus près possible à la affectivité humaine, le travail manuel, les éléments de la nature; mes jouet se trouvent dans le jardin, les arbres, fleurs, fruits, avec les animaux, l’espace domestique, et la musique bien sûr, tous langages reçus comme éponge pour moi, et je crois potentiellement pour tout enfant!

  Pourtant malgrè le formidable miroir du vécu et réalité de la conscience, de la pensée, voyage dans le temps qu’il signifié pour moi la pédagogie Waldorf avec l'Anthroposophie, depuis quelque temps, j’avait certains conflits pour le suivre en tant que système imposée par l’institution, pour la possibilités d’une continuité à l’intérieur d’elle même. J’avait fait une grand démarche personnel avant, et même que très attirant bien sûr d’atterrir, je voulais continuer le défi de l'intégrer, par moi même. Et, un jour…naturellement, il ce sont arrêté…

  On devait faire un travail pratique sur "La métamorphoses des plaintes" de Goêthe,…et….mettant mes mains dans la terre dans le petit jardinier où il se trouvent les plaintes, il est passée queque chose en moi…je ne sais pas quoi…mais…il y avait une expérience spirituel bien plus vaste, un appelle à une forme d’expérience sans conceptualiser, seulement le sentir dans mon coeur. La métamorphose il avait opérée en moi. C’été en appelle à la vie, à une regard et sacre lien avec une nouvelle terre, absolument irresistible et nécessaire… 

  Le petit jardin de plaintes, je le soignée et chérie par la suite énormément…inexplicablement, malgré les naturels difficultés de recommencer…et renouveler chaque nouvelle saison…

et après beaucoup,

 ….j’avait compris que je devait retourner….
      et recommencer, recommencer...

elgodiv