NOTRE SACRE


Définis à travers l’être qui l’habite, c’est la quête la plus spécifique de tout humain, qui touche notre condition innée ; notre capacité de re-ligare (re-unir), de liaison vers ceux qui nous est propre, unique, pour arriver à l’Universel; l’alliance qui nous appartient, qui nous arrive paradoxalement qu’an t’on dépasse ceux qui est purement local, physique, temporal ; pas pour l’exclure sinon pour le sacraliser, pour trouver son épiphanie, son sens transversal commun en tous…

Au même temps ceux qui nous appartient c’est un point focal, l’aleph, comme l’anniversaire de quelqu’un, du moi ; c’est ce qui va nous faire transgresser vers l’interdite, le non temps, le non lieu, le a-historique, le non limite du tabou. C’est l’espace du « sacer » à l’intérieur du chacun ; le lieux de notre hiérogamie, lieu ou on peu toucher ceux qui n’est pas touchable, pourtant plus réel que tout, parce que il intègre : vie intérieur, société, monde intemporel, uni-vers…

Mais sans l’espace interne comme force, n’est qu’ un élan qui nous éloigne de nous même, au lieux d’ exaucer notre nature, en le rendant sacrée...

Et c’est là, dans la nature et son ordre, leur rythme, cycles, leurs lois, en dehors et en nous, l’espace et langages inconnues, que les anciens et encore survivants peuples ancestraux, qu’ils ne ce sont pas détachés de leur monde, restent encore comme témoin des formes de vie ancrées et liées aux mystères ; la plus part sans le savoir dans l’intemporel, dans leurs symbiose de leurs langages, encore comme foyers sacrées d’une humanité qui « quantifie », leur expérience pour leur connaître ; ne considérant pas leurs conscience global, unifié….présents en tous, nous….

C’est dans cet unité des consciences, d’un Occident qui doit lâcher leur peur et méfiance de soi, depuis des milliers d’années, qui vas se jouer notre survivance actuel ; dans le déchiffrements d’un monde qui depuis toujours a été global ; ceux qui nous donne ce force ancestral dans nos quotidiens….

Notre opportunité se trouve dans ce monde universel commun à tous, qui nous « trouvère » transversalement ; opportunité qui se construit maintenant….

Dans ce moment ainsi, on peut fermer le boucle avec le monde précédent, à l’intérieur de nous mêmes, dans ce qui est la source commun à tous nos cultures; pour nous intégrer maintenant, dans des origines communs…

On a déjà la force et possibilité de l’accomplissement de nos destins, qui nous permet re-sacraliser notre terre, notre nature, patrimoine à tous…

Eleonora