Finis les carnavals, festivals, plongeons dans l’eau gelée, au milieu des guerres physiques, psychologiques et défis d’époque!
Epoque où les temps il se retrouvent face à face, où l’art joue le rôle de nous arrêter, d’ouvrir nos consciences au delà du quotidien aux retrouvailles du non temps; parfois mystérieusement, parfois dans l’extases des joies collectives, parfois dans tête à têtes des-masqués qu’il font dénouer ce qu’il se trouve encore dans la parafernalia de l’inconscient individuel et collective, gracieux charivari des con-fusions crées à travers la manipulation du langage….maintenant aux mains des nouvelles technologies, internes et externes…
Nouvelles intensités de vie aujourd’hui où il domine de manière invraisemblable le coeur, celui qui s’ouvre aux perspectives enormes et sublimes d’émotion donnés, sans aucune trucage et effet ajouté ...que ce qu’il y en a et… ce qu’il y a eu….dévoilés inexorablement…
Hier j’ai vu le film « Timbuktu »…où le plus parfait scénario naturel de paix et beauté imaginé c’est aussi le cadre de déroulement d’une violence ancestral de l’instinct basique, sans merci. Pas la jungle, où la violence des animaux est l’instinct de survivance sont en équilibre; pas sordide, comme les scénario promiscue et débordés parfois des grands villes, non.
Ici on trouve un fabuleux tableaux esthétique intemporel aride, brute, d’étroites espaces clos, des ruelles ouverts à l’inmensité sans bornes, sans chemins; une conscience humaine qui essaie de prendre sa place mais…voilée, il ne voit pas. Elle a des codes de respect d’application envers leurs brutalité, mais elle est sans pitié pour leur proche qu’on juge selon dictées interprétatives radicaux, extrêmes, pour créer la peur et une fausse image. Conscience qui n’acceptais pas la diversité, l’épanouissement, l’expression créative personnel, le chant, la musique, notre mémoire; seul l’ilussoire mémoire d’un texte sacré qui s’impose sans le comprendre.
Ici on trouve un fabuleux tableaux esthétique intemporel aride, brute, d’étroites espaces clos, des ruelles ouverts à l’inmensité sans bornes, sans chemins; une conscience humaine qui essaie de prendre sa place mais…voilée, il ne voit pas. Elle a des codes de respect d’application envers leurs brutalité, mais elle est sans pitié pour leur proche qu’on juge selon dictées interprétatives radicaux, extrêmes, pour créer la peur et une fausse image. Conscience qui n’acceptais pas la diversité, l’épanouissement, l’expression créative personnel, le chant, la musique, notre mémoire; seul l’ilussoire mémoire d’un texte sacré qui s’impose sans le comprendre.
Et l’amitié, l’amour, oui, il sont là, côtoyés, harcelés, plus léger et magnifique qu’on peut l’y croire, ils sont sacrifié à chaque échappée du destin….
Conscience pas encore développé et qui à la base il se trouve en nous tous? Oui.
Maintenant on peut le voir ouvertement, et le reconnaître sans aucun voile, dans le monde… pour réfléchir...
elgodiv
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