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3.7.18





         DÉPLACÉS CLIMATIQUES ET EXILÉS

La majorité des humains déplacés, sont victimes des changements imposés par une minorité. *

On ignore les millions de déplacés climatiques et exilés pourtant que 85% des événements climatiques extrêmes qui poussent ces populations à l’exil sont désormais liés au réchauffement climatique et ses conséquences.

Selon la ONU, 250 millions de personnes seront contraints de migrer d’ici 2050 à cause du changement climatique. (Source OIM & HCR)


Déplacés « climatiques » et migrants dits « économiques » sont le plus souvent les mêmes personnes. Il n’y a pas de « bons »et de « mauvais »migrants. Attribuer jugements des valeurs aux migrants, légitimer selon des catégories c’est méconnaître qu’il y a une superposition  des motifs de migration, inséparables uns des autres. Des facteurs environnementaux, économiques, et politiques se mêlent en différents étapes de leur parcours migratoires. Souvent nous ne voyons que la dernière étape des ces migrations, celle qui touche frontières et territoires de soi-même.  Tous ce qui se passe avant « on s’en fiche complètement » très explicitement! 

Il faut considérer que l’impact climatique, politique, et ses conséquences aux régions du sud * l’Afrique, l’ Asie, l’Amérique central, l'îles et archipel du pacifique, de la Polynésie, et des Maldives, ont un impact immédiat, qui provoque souvent les migrations vers le nord. Pourtant la plupart des migration concernent les immigration régionale et continentale. On le voit la plupart du temps quand il s’agis des migrations intercontinentales, quand on voit des gens d’une autre couleurs qu’il vont arriver dans le propre pays. Il y a une attitude très raciste là-dedans. 

  En USA tous les actes criminels scandaleusement fréquents, sont réalisés que par des nationaux américaines souvent vers des gens de couleur. 
  Les lamentables événements actuels vers les réfugiés d’Amérique central sont actes pas seulement racistes sinon d’une incroyable des-humanisation.

On est dans le période géologique de « l’Anthropocène », ce qui signifie placer tous les êtres humains sur un pied d’égalité, en sous-entendant qu’on a tous une responsabilité égale dans la dégradation de l’environnement, dans les transformations brutales que nous imposons à la planète. En réalité une majorité des êtres humains sur cet planète, que actuellement subissent les changement, sont victimes et pas acteurs de changements. Il subissent les changements qui sont imposés par une petite minorité, motif de parler qu’on est dans « l’oligo-anthropocène », c’est à dire l’âge de quelques humains et surtout de quelques hommes.

edition elgodiv
*voir blog Servicio elgodiv: Regard Global

source: interview de François Gemenne, par Sébastien Gillard.





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