THE ECONOMIST - THE NEW NATIONALISME |
GILES JAUNES, CATALYSEURS POLITIQUES
vers la chute de la Démocratie ou nouvel ordre politique?
C’est claire la majorité solidaire aux demandes des « gilets » et son expansion, mais… les événements il sont démontré qu’il y a une radicalisation dont on ne sait pas trop exactement ses origines, très préjudiciable…pour tout le monde!
Prenant distance, on peut voir que sans aucun doute il y a eu une fort utilisation de ce legitime mouvement par des politiques extrémistes qu’il veulent destruction et pas des solutions.
Globalement, on peut maintenant avérer que les causes de ce mouvement sont les dramatiques différences sociales que dans le monde dérivent toutes du même mauvais exercice des politiques sociaux. Les classes modestes plus délaissés et moyens, payent de manière disproportionné par rapport à leur revenus; avec des abus…jusqu’a maintenant incontrolables. Le système vertical est une réseaux qu’il se protège de manière systémique. Ce que en ce moment il peut provoquer en effet de purgation pire que quelque solution… aveugle.
Et dire aveugle ce n’est pas exagérée; à manque de solutions vraies, il faut voir, que ce qui c’est passé déjà dans le monde invariablement, c’est le résultât d'une manipulation du peuple par l’extrême droite et systèmes fascistes anti-démocrates qu’il s’installent de manière opportuniste suite à des grands coups politiques démagogiques. Tromper au peuple enrayé, furieux, qui a attendu trop pour revendications…. c’est pas difficile. Il le montrent le Brexit, les élections des Etats-Unis, le Brésil, L’Italie, etc. etc., et toute l’ histoire du nationalisme dans le monde.
Actuellement, c’est pas étonnant que la France déclenche de manière pionnière, des mouvement sociaux importants… mais en ce moment des urgences planétaires, laisser la place aux sorties anarchiques, extrémistes, c’est un recul, un grand risque, pour ne pas laisser l’opportunité de bon sens vers la co-création des nouvelles lignes politiques. C’est pas possible accepter non plus une dictature du peuple, formule dépassée depuis longtemps. Il doit exister communication réciproque dans le respect de la démocratie, gouvernance et participation de toutes les classes populaires présents dans le pays.
L’actuel gouvernement, par programme, il est réceptive à une gouvernance de collaboration participative. Ça c’est un fait à l’intérieur du gouvernement, il y manque le lien extérieur avec le peuple et besoins régionaux. Le centralisme est le grand risque d’une politique pseudo-mondialiste qui épargne la qualité par la quantité; un rouleau compresseur des tendances et initiatives. Dont des villes mégalopoles contemporaines des vraies poulpes qui avalent tout, tenant comme effet l’hyper conurbation assez ingérable, créatrices d’une toxicité chaque fois plus letal dans tout le sens.
L’intercommunication social, multilateral, tant dans le plan national que international, ne doit pas signifier centralisme politique. Tout au contraire, le corps politique doit donner des pouvoirs spécifiques aux régions. Et l’économie, tête du pouvoir central, en ce moment crucial, droit être au service de la VIE humaine et du planète et pas au service des énergies fossiles et armes de destruction massive. Le G20 doivent être invité du COP24 comme les pays AU SERVICE financière du reste des pays du monde et du planète. Il faut invertir la pyramide, les intérêts, les propos que en ce moments il sont cassés, divisés. Il ne faut plus marcher sur la tête!
En introduisant les valeurs HUMAINS, les valeurs de la VIE, on change la donne, la direction et le sens du mouvement d’interaction social. "L'état nation" doit trouver sa place, comme une entité ORGANIQUE, ainsi sa force, sa dignité à manière des différents organes d’un corps, étant les cellules, chaque être humain.
On doit trouver une FORME D’ARCHITECTURE POLITICO-ORGANIQUE, restructurer les politiques à l’intérieur des pays dans l’Union Européenne avec le reste du monde avec la force et diversités des différents états.
elgodiv
No hay comentarios.:
Publicar un comentario