LE CHOIX

  l’Amazonie actuellement il est en train de nous faire prend conscience et catalyser des choses fondamentales.  Comme résoudre la forme de « exploiter » la terre et l’équilibre de la nature des différents pays du monde qui affectent à tout le planète et la vie dans la terre.

 On peut considérer la terre comme un bien local, souverain, qu’il faut « exploiter » considérant seul les intérêts productives spécifiques d’un pays?

  Sachant l’influence qu’il a chaque lieu du monde même le plus lointain, vers l’ensemble planétaire, comme gérer et se coordonner avec la souveraineté  ainsi des différents politiques gouvernementaux?

 La terre est un bien planétaire dont on est tous responsables dans une vision de productivité de respect et protection de la culture originel, autochtone du lieu; comme l’intégrer dans l’économie du marché actuel avec des grands transnationaux et course de méga productivité cause de grand déséquilibre et destruction ambiental?

  La terre, in extremis, elle est en train de nous faire comprendre (dans la douleur de voir déjà les désastres naturels et refus de l’affluence des grands immigrations ) qu’elle n’est pas pour être « exploitée », sinon pour la respecter dans leur situation naturel-humain, par rapport à tout l’environnement dans lequel s’y trouve située, local et planétairement!

La terre elle est là, pour être respectée avec tous les êtres vivants qu’elle donne vie naturellement et pour équilibre de l’écosystème. Equilibre actuellement cassé.

La vision de l’Amazonie en flammes, cause en sentiments d’impuissance déchirants par la magnitud du fait et conscience qu’on a maintenant des effets  que cela produit à chacun et tout le planète. Fermer les yeux à cela c’est de l’aliénation extrême.  

Maintenant ce qui se pose, est extrêmement important. 

On doit laisser gérer l’exploitation de la terre visant seul l’intérêt ponctuel d’une population, et l’intérêt et domination de grands méga marchés mondiaux des puissances?

 Il faut se rappeler d’une expérience humaine assez brutal, qu’il me semble miroir et possiblement reflet d’une potentiel risque pour tout l’humanité. L’expérience de l’Ile de RAPA-NUI. 

  Dans L’ile de RAPA-NUI, les habitants n’ont pas eu l’opportunité dans le pasée de trouver sources autres que la forêt local, d’un territoire extraordinairement isolé. Il faut comprendre qu’il n’ont pas eu d’autres alternatives. La désertification et dégradation naturel extrême de l’Ile est une réalité produit du manque de communication territorial-humain et puis des présences assez prédatrices propre de l’époque. Leur récupération naturel, autochtone, de survivance, ça été possible in extremis, très lentement par le pays de Chili (malgré distance XlXs, destination des ressources, politiques cohérents de respect pour leur culture originel, etc.)

Avec les communications actuels partout le planète, et toute l’information anthropologique pertinent, c’est possible prend des mesures conscientes du l’extrême danger qu’il y a actuellement. On a tout les moyens pour agir tous ensembles en coopération pour le bien de tout la vie dans notre planète. On a pas des excuses. C’est un choix de VIE.

Elgodiv