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18.11.19




           LE CHEMIN DE GUERISON SOCIAL
          ET LA CULTURE COMME CHEMIN 

  Le plus difficile dans une thérapie spécialement social, c’est d’avoir le courage de regarder les causes de la maladie. Plus vite on visualise l’origine des conflit organique à tout niveau, même que parfois on peu pas le révéler directement, plus vite le conflit qu’il arrive à la violence, par accumulation, simulation, détournement, aliénation, on peu le canaliser vers une situations civilisé.

  Mais cela demande croissance émotionnel, signifie respect, signifie retenir le besoin d’imposer propos personnels nourris de passions de long haleine qu’il ne prennent pas d'un bouc-émisaire pour se canaliser, sinon d’un responsabilité interne. Signifie apprendre à se regarder à soi-même avec honnêteté. Pas facile pour celui ou celle qui comme un enfant gâté, piétine pour avoir d’attention à la force... comme il veut, quand il veut, sinon déclare la guerre.  

 Actuellement il faut un être humain qu’il s’ouvre au delà des intérêt émotionnels réduits, petits, seul matériels. Le grandeur il n’est pas seulement vers l’externe, sinon vers tout internement. 

   La politique vraiement démocratique, comme organisation humaine, aujourd’hui a un important et difficile rôle social et écologique local et planétaire. Il faut que notre conscience s’ouvre à la force au nouveau paradigme humaine. L’économie doit se mettre au service du bien commun et être l’objectif à l’envers, la base dans le social et l’écologie global.


  On doit commencer une forme de rétro-alimentation social intégral.


   Après des années d’un matérialisme sauvage, boulimique, irresponsable, maintenant il faut qu’on assume une nouvelle conscience que vise pas seulement l’individuel, sinon le bien commun. 

   De cette manière on pourrai vaincre le cancer qu’il se geste au niveau externe d’abord, dans le rapport humain, dans la métastases d’énergies ou concentration acromegalique des usines, réacteurs nucléaires, mega-supermarchés où on perd le rapport humain-nature et il n’y a pas de l’air, les villes débordés des circulations contaminants et les rapports humains ainsi qu’il perd sens et valeur digne dans les concentrations architecturaux trop fermés en soi même, où l’entropie qui engloutie les personnes devienne un pouvoir menaçant...  

   Tout cet monde il doit se métamorphoser...vite. 

   Le processus de guérison social en cours au niveau mondial il est douloureux et difficile. Mais je suis confiant que chaque groupe humain, chaque pays trouve sont temps, il s’ouvre aux nouveaux airs évolutives, il s’ouvre à la co-création et solidarité.

    Je suis heureuse que le processus en nombreuses pays retrouve enfin une vraie appelle et possibilité de réponse loyal à la demande de tous. Il faut assumer une grand population en attente, dans le vide du groupe, parfois trop blessé, dangereux, pourtant qu’il ressemblent avoir tout. Parfois pas un affaire d’argent, mais bien un problème CULTUREL, de in-satisfaction avec ce qu’on fait, ce qu’on est, qu’on projète vers celui toujours qu’on crois plus heureux, plus libre, et essayer de lavoir, de le détruire.


C’EST LA MALADIE DE L’ÊTRE ET PARAÎTRE, PARCE QUE LE MONDE ACTUEL IL A ÉTÉ FONDÉE TROP ET PUREMENT DANS L’AVOIR.


BÉNÉDICTIONS!


Elgodiv

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